Aujourd’hui à la retraite, j’étais cadre dans une grande entreprise de transport aérien en charge de l’Organisation, de la Qualité, de la Sécurité et de l’Environnement.

Je suis également spécialisé dans le développement d’outils informatiques.

J’ai commencé ma carrière de militant à la CFDT, où pendant plusieurs années j’ai occupé des responsabilités syndicales au niveau national dans le transport aérien.

J’ai été par la suite élu Conseiller Régional entre 1992 et 1998 sur une liste écologiste.

J’ai occupé le poste de Président de Groupe au Conseil Régional d’Ile-de-France.

J’ai également occupé les postes de membre de la commission des finances et de la formation professionnelle au sein du Conseil Régional.

J’ai prolongé cette démarche militante en arrivant en Auvergne.

En mars 2014, j’ai été tête de liste aux élections municipales. J’ai été élu Conseiller Municipal et Conseiller Communautaire. A la communauté de communes, j’ai été membre du Comité de pilotage en charge du Plan Climat, Air Énergie Territorial (PCAET)

Je suis un militant pour la protection de la nature et de la cause animale, et photographe amateur.

Réconcilier l’humain, la nature et les animaux, défendre le vivant. La mondialisation capitaliste, la spéculation forcenée, la tyrannie de l’économie, l’omnipotence de l’argent, l’obsession d’une croissance fondée sur le productivisme, la persistance des spectacles et des jeux les plus cruels, la négation du droit des animaux, le pillage toujours croissant de la nature participent de la même violence faite au vivant dont souffre une large majorité de l’humanité.

Dressés contre ces lobbies funestes qui ne cessent d’écraser les plus faibles et de produire de la souffrance, défendons la solidarité, la bienveillance, le droit à la différence, la préservation de la planète qui nous fait tous vivre. Travaillons à l’avènement d’une nouvelle société où l’écologie guide nos choix de vie au quotidien.

Les nouvelles connaissances et les nouvelles technologies doivent se mettre au service du vivant plutôt que de l’aliéner. Judicieusement utilisées, elles devraient établir un autre rapport au travail, offrir des sources suffisantes d’énergie renouvelable, préserver nos ressources vitales, nous permettre de maîtriser la croissance démographique, nous protéger contre la démesure en privilégiant l’usage de la raison, autoriser à grande échelle un nouveau mode d’alimentation éthique et sain. Nous savons qu’il n’est pas nécessaire de tuer pour manger.
Le temps est venu d’une mutation comportementale qui garantisse toute leur place sur terre à l’humain et aux autres formes de vie, animale et végétale. Le temps est venu d’intégrer tout le vivant dans le cercle vertueux de l’éthique et du droit.

 

 

Philippe LE PONT